Dans la majorité des casn la lubrification des rampes hélicoïdales ne nécessite d’un fin film de graisse.

Après un rodage, puisque du métal été retiré, il est préférable d’être plus généreux pour le premier pré-remontage.

la bague de mise au point étant d’origine très fluide, c’est le graissage de la rampe du groupe optique qui va déterminer la douceur du fonctionnement.

Si elle est trop ferme, il faut retirer un peu de graisse et inversement si elle trop fluide.

Pour le pré-remontage et les test du dosage de graisse, il n’est pas utile que les rampes soient vissées en tenant compte des repères de séparations citées plus haut, l’important est de déterminer la fluidité de la rotation.

La partie arrière et la partie avant doivent être placées bien en face l’une de l’autre.

Sans forcer, il faut faire une rotation de la partie avant dans le sens inverse du vissage (qui est de de gauche  droite) afin d’entendre un petit  » clic » qui indique que les rampes sont en place pour le vissage.

Il faut alors visser les rampes l’une dans l’autre et faire plusieurs rotations pour bien diffuser la graisse.

En fonction de la souplesse de la rotation, cela détermine si le graissage est suffisant.

Il faut procéder à un contrôle de la mise au point.

Il suffit de remonter provisoirement la baïonnette avec 2 ou 3 vis et de vérifier sur un appareil.

Il y avait encore un petit problème, celui de la position de l’indicateur des diaphragmes.

Par sa conception, la rampe du bloc optique est maintenue par un bague à l’arrière et une vis pointeau de blocage derrière la bague des ouvertures.

Cette vis avait déjà été forcée et elle était indémontable.

Comme la position du repère des ouvertures ne pose pas de problème à l’usage, elle a été conservée en l’état.